loin loin
loin les étrangers
loin loin le Portugal
du coin du sud de mon Europe
Les pauvres on perdu l'or des tropes
et les oases pour les impôts
tu travailles pas, je travaille trop
on ne partage jamais les mots
ton pays est plein, mon coeur est mort
tes enfants sortent
le sœurs qui pleurent
leurs larmes aveugles
et cris muets
je me rends compte
les buts sont faits
les jeux joués
ils me rendent distrait